Avec les événements de ces dernières années, les jeux en lignes nous ont permis de palier au déclin de notre vie sociale. Et quoi de mieux que de jouer à un MMO quand on est enfermé chez soi ?
J’ai d’ailleurs été assez surpris par la population de joueurs, encore bien présente, dans ma sélection des MMOs incontournables.
Sans ordre particulier, voici mes 10 meilleurs MMOs.
Sommaire :
EVE Online

Parmi les MMO sur les thèmes de la science-fiction et de la conquête spatiale, EVE Online est incontournable.
EVE Online est un sandbox qui ressemble pas mal à Albion dans son gameplay. L’économie est quasi-entièrement gérée par les joueurs. Les prix varient d’un système à un autre. Ce qui est cher dans une galaxie ne l’est pas forcément dans une autre.
Le PVP omniprésent du jeu participe à générer de l’offre et de la demande car votre vaisseau est détruit lorsque vous mourrez et son contenu peut être volé par le joueur qui vous a attaqué.
Le jeu propose diverses activités allant des missions de corporation pour accroitre sa réputation auprès de sa faction, à de l’exploration spatiale pure, du transport de marchandises entre stations, de la récolte de ressources, de la fabrication, du PVE, des guerres de flottes…
Mais il a aussi et surtout : le commerce.
En effet, quand on commence EVE, on finit par jouer à Excel.exe.
Le commerce ne va pas forcément intéresser tous les joueurs de EVE, mais l’interface de trading est un passage obligé pour acheter ses vaisseaux et ses modules. Les joueurs les plus hardcore peuvent même essayer d’acheter 30 jours de version OMEGA (qui est la version abonnée complète) avec la monnaie du jeu.
La version ALPHA (gratuite) vous permet néanmoins de farm les PLEX et ainsi de débloquer le temps de jeu OMEGA qui permet d’utiliser de plus puissants vaisseaux et de rechercher de meilleures technologies. D’ailleurs, les joueurs de haut niveau achètent leur abonnement qu’avec des ISK (la monnaie du jeu). Il vous faudra malgré tout accumuler une somme considérable d’ISK pour pouvoir vous offrir les 500 PLEX nécessaires à la version OMEGA.
Je dis pas que c’est impossible mais il va falloir bien étudier les activités du jeu pour déterminer celles qui sont les plus lucratives avec la version ALPHA. Et n’oubliez pas de vous amuser surtout ! (C’est le plus important)
Sinon vous pouvez toujours tenter d’arnaquer les autres joueurs… Oui, car la truanderie est aussi une activité possible.
Albion Online
Albion est un MMO Sandbox très réussi avec une économie qui repose entièrement sur les joueurs, ce qui rappelle assez bien l’économie d’EVE Online. Les 5 ressources principales (le bois, la fibre, le cuir, le minerai et la pierre) ne sont pas réparties équitablement sur le continent royal et chaque ville dispose de son propre marketplace. L’offre et la demande régule donc les prix.
Pas de classe verrouillée dans Albion, le joueur est libre de s’équiper comme il l’entend et de pratiquer les activités qu’il souhaite apprendre. Bûcheron, couturier, mineur, fermier, enchanteur, commerçant, convoyeur de fonds, mercenaire, escorte, criminel voleur, aventurier de donjons, chercheur de trésors, pêcheur, artisan, éleveur de montures, forgeron, guetteur… C’est autant d’activités possibles dans Albion. Le jeu est en fait la version héroic fantasy de EVE et une sorte de successeur spirituel aux jeux old schools comme Ultima.
D’apparence relaxant, il faut rappeler qu’Albion Online est un jeu PVP. Le Monde est découpé en zones de couleur. Les zones bleus et jaunes, sans risque, vous permettent de vous familiariser avec les différentes activités avant d’aller potentiellement explorer les zones rouges et noirs, plus riches et qui sont des zones full loot; c’est à dire que les autres joueurs peuvent voler ce que vous avez sur vous après vous avoir tué. Il est donc important de garder les objets précieux dans ses coffres personnels.
Le full loot peut décourager rapidement les joueurs de s’aventurer dans les zones à risque, pourtant ce goût du risque se laisse apprécier avec le temps. On peut voir Albion Online comme des parties de jeu du chat et de la souris : parfois on remporte la récolte et parfois on se fait dépouiller. Si vous n’êtes pas le chat, vous devez apprendre à lui échapper.
On peut regretter aussi le manque de quêtes une fois le tutoriel terminé. Et même si le site officiel dispose de 4 guides pour démarrer, il vous faudra trouver très vite un objectif et des missions vous-mêmes. Mon objectif aura été de m’offrir une île, avec la monnaie du jeu, et d’ainsi découvrir les activités les plus rentables. (Je cesse encore d’en découvrir)
À un certain niveau de jeu, vous pouvez rejoindre une guilde (qui ne vous taxe pas trop) pour farmer sous protection, explorer les donjons coop les plus difficiles et pour accroître votre territoire. (Diplomatiquement bien sûr !)
Final Fantasy XIV

L’univers de final fantasy XIV est doux, soyeux et parfois mélancolique.
Avec son gameplay de combat tab-targeting, sa triade classique de rôles Tank/Healer/Dps dans les donjons et ses hauts faits, Final Fantasy XIV se rapproche beaucoup de World of Warcrat. Le jeu n’échappe pas non plus à la règle des quêtes fades (comme tuer 10 sangliers ou apporter un colis à quelqu’un) que l’on retrouve également dans WoW et Guild Wars 2.
Mais le gros plus de ce MMO est avant tout son univers. Il faudra cependant attendre le niveau 50 pour assister à une narration et des plots twists incroyable. La tension ne redescend plus à partir de là .
Il y a tellement de choses à faire dans Final Fantasy XIV, entre continuer l’épopée principale, avancer sur ses quêtes de classe (on peut d’ailleurs changer de classe simplement en changeant d’arme), compléter ses classes d’artisanat, explorer les différentes cartes du jeu, remplir son bestiaire ou encore rechercher des skins et des familiers…
Il ne faut pas non plus sous-estimer sa communauté. En effet, il est assez courant dans FFXIV d’assister à des concerts de musique improvisés ou à des ALEA (FATEs en anglais) avec des inconnus. Les joueurs ont globalement l’air plus serviable que sur d’autres MMO. Il règne une ambiance accueillante sur le continent d’Éorzéa et je n’ai même pas encore parlé du housing ! (Au cas où vous souhaiteriez jouer aux Sims dans Final Fantasy)
Final Fantasy XIV est un MMO pittoresque qui se veut reposant après une journée de travail. D’ailleurs, A Realm Reborn, la première extension du jeu est gratuite. Elle compte pas moins de 50 niveaux de contenu alors n’hésitez pas à l’essayer si ce n’est pas déjà fait !
World of Warcraft

orld of Warcraft est sûrement le jeu vidéo qui a eu le plus d’impact dans le genre du MMORPG. Ambitieux pour l’époque, dépassés aujourd’hui, WoW peine de plus en plus à accueillir de nouveaux joueurs et à garder ses joueurs nostalgiques des premières extensions et de son univers (warcraft/hearthstone). En effet ces dernières années, on semble assister à une migration massive de WoW vers Final Fantasy XIV.
Pourtant, WoW est un incontournable du genre. Les joueurs de la première heure y reviennent régulièrement. C’est le MMO « parc d’attraction » par excellence et la recette est simple : de l’exploration, des classes, du farm pve, du loot, du crafting, des donjons, des factions, des races, des raids et du pvp. Son lore est aussi tellement développé qu’il faudrait plus d’une vie pour tout comprendre.
Le système de combat tab-targeting nécessite de bien connaitre ses rotations de sorts et ses timers. En effet, le temps entre chaque sort (aka le GCD : global cooldown) est de 1.5 secondes dans World of Warcraft contre 2,5 dans Final Fantasy XIV, rendant ainsi les combats beaucoup plus nerveux. Les loots sont aussi plus diversifiés que dans FFXIV où tout le monde se ressemble.
En revanche, son système de crafting trop simpliste, ses visuels archaïques et l’absence de doublage narratif aura tendance, pour un néophyte, à lui faire privilégier un MMO plus récent. C’est pourquoi je recommande à quelqu’un qui n’a jamais joué à WoW (et qui a un peu de temps sur une semaine) de l’essayer gratuitement, par curiosité ou par culture. (Et surtout si vous avez déjà des références en ayant joué à Hearthstone ou aux jeux Warcraft !)
Black Desert Online (BDO)

Le MMO Coréen qui fait de plus en plus parler de lui en France, Black Desert Online est un MMO Sandbox avec une trame principale scénarisée (ce qui est rare pour un jeu SandBox, d’autant plus qu’on se laisse absorber par l’intrigue).
Avec ses animations soignées et ses graphismes sublimes, BDO fait la prouesse de proposer un open world sans temps de chargement entre les zones. Pas de fast-travel, l’exploration de la carte doit se faire à pied ou à cheval (ou en âne, à défaut de mieux), ce qui vous donnera l’occasion de récolter tout un tas de ressources et de pêcher. Vous pourrez enfin fabriquer des objets, cuisiner de délicieux plats, et commercialiser vos denrées à l’aide de routes commerciales et de vos transporteurs (qu’il faudra bien sûr rémunérer).
L’aspect dynamique du jeu se fait surtout sentir dans ses combats action rpg et les combos qui sont vraiment satisfaisant. En effet, BDO frôle avec le genre Hack and slash. Le jeu dispose également d’un immense contenu PVE : plus de 1000 quêtes, même si – on va pas se le cacher – c’est essentiellement du bashing de mob ou de la livraison de colis d’un PNJ à un autre. Il y a cependant quelques quêtes, plutôt bien écrites, qui sortent du lot.
Le jeu nécessite quand même un assez bon pc pour profiter des graphismes au maximum. Le commerce est aussi bien plus rudimentaire que dans Albion ou Eve; il est souvent plus judicieux de vendre ses objets aux PNJ plutôt que de chercher à les vendre aux joueurs.
Dans tous les cas, Black Desert Online propose une version d’essai de 30 jours pour vous forger votre propre avis !
Guild Wars 2
Guild Wars 2 est un MMO jouable gratuitement jusqu’à sa première extension mais vous ne pourrez pas vendre ou acheter d’équipements aux enchères comme pour Final Fantasy XIV (et sauf pour certaines ressources de crafting bien spécifiques). Heureusement, il n’est pas nécessaire d’utiliser le marché des joueurs pendant le leveling et les pnjs se feront un plaisir de vous racheter vos équipements bas niveau.
Chacune des 5 races du jeu (Humains, Charrs, Asuras, Norns et Silvaris) disposent de leur propre ligne de quêtes, d’une histoire personnelle et de leur propre environnement de départ. Il est donc intéressant d’envisager la création de plusieurs personnages pour ne rien manquer du lore de Guild Wars 2. Vos compétences sont également déterminées par votre arme et il est courant de devoir réapprendre à jouer son personnage après avoir ramassé une arme plus forte.
À l’heure où j’écris ces lignes, j’ai remarqué que les joueurs étaient encore bien nombreux dans ce MMO de 2012 ! Et heureusement, car les activités multi-joueurs ne manquent pas dans Guild Wars 2. Le site officiel dispose d’un guide en 4 parties pour les nouveaux joueurs.
Outre les activités pve/pvp proposées et l’univers de Guild Wars 2, j’apprécie aussi beaucoup sa direction artistique et son UI « peinture fantasy ».

En plus des nombreuses quêtes journalières vous incitant à participer aux activités coop/pvp du jeu, chaque zone contient aussi son propre lot d’objectifs. Il y a des événements coopératifs périodiques qui attirent les joueurs présents dans la zone, des world-boss, des points de téléportation à débloquer, des énigmes, des quêtes de zone, des points d’intérêt et des panorama nécessitant parfois des phases de plateforme (et c’est assez agréable de voir ça dans un MMO honnêtement). Et tous ces objectifs sont notés dans votre onglet des succès, bref, Guild Wars 2 saura ravier les plus complétionnistes d’entre nous.
Les collectionneurs ne sont pas oubliés puisqu’en plus des montures et des familiers, chaque skin d’équipement est récupérable, avec leurs variations de couleur. Les métiers d’artisanat permettront également de crafter des colorants et de cuisiner. (Que serait un MMO sans pouvoir cuisiner ?)
RuneScape 3
Oui.
RuneScape peut paraître archaïque de prime abord mais pour celui qui lui laisse sa chance, RuneScape dévoile un jeu « feel good » dans un univers fantasy décalé. Je ne regrette pas tout ce temps passé à cuisiner une tarte immonde ou à couper du bois virtuel pour vendre des arcs.
Les joueurs complétionnistes PVE sont au paradis dans RuneScape avec ses 230 quêtes scénarisés, ses donjons, ses achievements, ses familiers/cosmétiques et ses compétences à level up. Et même si le jeu date de 2001 (oof), il n’est pas mort pour autant : RuneScape compte encore des centaines de milliers de joueurs connectés en même temps et une centaine de serveurs officiels.
Comme pour Albion et EVE, il est possible d’acheter du temps de jeu premium, avec des euros ou avec la monnaie du jeu, et ainsi accéder à toutes les quêtes et à toutes les zones. Le Grand Exchange, l’hôtel de ville du jeu, vous permettra d’acheter les fameux Bonds.
Le jeu ne se prend pas au sérieux, c’est un point qui peut être négatif car l’univers n’a aucun sens : on peut par exemple trouver des licornes à côté d’une zone mortifère. Si vous souhaitez explorer un Monde cohérent et immersif, passez votre chemin : ce n’est pas le but de RuneScape.
Les graphismes et l’interface sont aussi clairement dépassés. Le jeu mérite une 4ème refonte graphique (ou peut être que j’attends inlassablement un jeu au gameplay semblable à RuneScape mais avec les designs d’aujourd’hui…)
The Elder Scrolls Online (ESO)
Le MMO publié par Bethesda saura raviver la flamme des joueurs qui cherchent du neuf dans un univers connu. En effet, la série des Elder Scrolls est réputé pour son lore profond, ses quêtes passionnantes et ses environnements immersifs.
The Elder Scrolls Online ne déroge pas à la règle en proposant ce que l’on fait de mieux aujourd’hui dans le genre High/Dark Fantasy.
Comme pour Final Fantasy XIV, ESO inclut une trame principale entrecoupée de cinématiques et de contenus multi-joueurs. Les deux jeux sont immersifs à leur manière au point où on aimerait bien y passer ses vacances (et malgré les dragons). En revanche, ESO est payant et sans version d’essai contrairement à FFXIV qui offre sa première extension, A Realm Reborn, et qui contient quand même 50 niveaux de contenu !
La communauté est extrêmement active et il est fortement recommandé de rejoindre une guilde et de faire les quêtes en équipe. Les donjons intriqués et les combats de boss épiques ont été soigneusement réfléchis en ce sens. Un jeu à partager avec ses amis.
Les joueurs solo apprécieront les dialogues immersifs, joué par des acteurs, et les loooongues quêtes impliquant de parcourir tous les coins de Tamriel. Compte tenu du dépaysement, ESO s’accorde parfaitement à un week-end pluvieux.
Dofus

Développé par le studio français Ankama, Dofus a marqué l’enfance de beaucoup de gens. Le jeu a été développé en flash, une technologie qui a, elle aussi, contribuée au divertissement de beaucoup de joueurs (et de développeurs) sur le web. Avec RuneScape, il fait partie des rares MMOs 2D et qui ont connu des refontes graphiques avant de proposer (peut être ?) une version 3D sous le moteur Unity.
Dofus est tactical RPG et malgré ses graphismes enfantins, les combats au tour par tour requièrent une bonne dose de stratégie. Le jeu est facile à appréhender et difficile à maitriser.
L’équipement repose sur un système de collection de sets (appelés des panoplies) qui améliorent les statistiques du personnage au plus les pièces d’équipement sont de la même panoplies. (C’est une mécanique de jeu qu’on retrouve aussi dans World of Warcraft dans une moindre mesure). Les métiers ont une importance considérable car les monstres laissent très rarement tomber de l’équipement, en revanche ils vous permettront d’obtenir les ingrédients pour crafter vos tenues. Dofus est un jeu original et qui a de bonnes idées.
Tree of Savior (ToS)
À en croire certains, Tree of Savior est l’héritier de Ragnarock Online. Le jeu jouit d’un style artistique sublime. Le mélange 2D/3D est très réussi et les environnements émerveilleront les fans d’Heroic Fantasy.
La grande variété de combinaison de classes rend le jeu très complexe à haut niveau et en compétition pvp. Côté leveling PVE par contre, le jeu est beaucoup trop simple. Les classes sont déséquilibrées, certaines sont clairement trop fortes au point d’être capable de vaincre un boss sans lui laisser le temps de placer une attaque. On se demande si on joue à la version mignonne de Path of Exile (D’ailleurs, le jeu est aussi gratuit avec un cash shop).
Bien que l’histoire et les animations soient correctes, Tree of Savior se résume essentiellement comme étant un hack’n slash visuellement satisfaisant. Véritable gouffre à temps assez peu valorisant, les quêtes et le gathering/crafting d’équipements requiert également de basher du mob en boucle.
De part son leveling ennuyant, Tree of savior est donc soit un jeu chill, destiné aux joueurs PVE qui veulent se caresser la rétine sans vouloir une expérience plus extraordinaire que ça, soit un jeu diabolique destiné aux amateurs de farming et de PVP, compte tenu du build irréversible du personnage une fois le haut niveau atteint. (Ce qui implique de monter sans cesse de nouveaux personnages pour s’adapter à la meta)
Mentions Honorables
Lost Ark : Énormément de contenus et d’activités end-game (et les développeurs prévoient encore de grosses mises à jour). Paradis des complétionnistes. Des donjons somptueux, des quêtes annexes scénarisées et un système de combat nerveux.
Monster Hunter World : Avec son mode multi, cet épisode action RPG de la série Monster Hunter s’approche de plus en plus d’un MMO. Any% extrêmement long.
Genshin Impact : Pas vraiment un MMO mais un Monde ouvert persistant, coloré, avec une exploration récompensée et des mises à jour régulières. Genshin Impact offre de nombreuses quêtes doublées en anglais, chinois ou japonais. Le jeu est jouable gratuitement sans freins invisibles.
Star Wars The old Republic (SWTOR) : MMO Star Wars scénarisé. Très bien accueillit par la communauté Star Wars.
Lord of the Rings Online (LOTRO) : Exploration des Terres du milieu. Très bien accueillit par la communauté Seigneur des Anneaux.
Path of Exiles : Hack’n slash RPG, Dark Fantasy. Arbre de compétences très complexe. Farming. Bashing de mobs. Gratuit.
TERA : Combats dynamiques en temps réel. F2P. Quêtes et scénario assez fades cependant.
ArcheAge : Version gratuite P2P ou Version Payante ArcheAge Unchained. Similaire à Albion avec beaucoup plus de RNG dans le crafting. Risque irréversible de casser son équipement en voulant toujours plus l’améliorer. Contenu PVE assez fade.
Elite Dangerous : Sur le thème de la simulation spatiale, Elite Dangerous est une alternative à Eve ou à Star Citizen qui accorde un soin particulier à se rapprocher des réalités d’un pilote de vaisseau spatial.
Neverwinter : Très apprécié par les joueurs old school, Neverwinter est comparable aux MMOs classiques comme WoW et Guild Wars 2. La population du jeu est encore haute, si vous voulez le tester, c’est maintenant 🙂
Phantasy Star Online 2 (PSO2) : Combats dynamiques, F2P, Pew Pew !
New World : Crafting, construction, High Fantasy. Nouveau jeu d’Amazon, sorti prévu le 31 aout.
Villagers and Heroes : Graphismes très old school pour un jeu sorti en 2011 (après WoW). Villagers and Heroes est une sorte de mashup entre les activités de RuneScape et les graphismes de WoW.
Tibia : MMO old school 2D pixel-art développé en flash en 1997 qui a connu son heure de gloire. Le jeu a d’ailleurs encore des serveurs actifs. Communauté anglophone.